Après avoir travaillé comme directrice de centre de vacances et de loisirs auprès d'enfants en difficulté, j'ai continué
le médico-social auprès des demandeurs d'emploi de longue durée. Face à leur détresse j'ai senti la nécessité d'explorer
de nouveaux chemins pour leur venir en aide, par exemple en organisant des ateliers d'estime de soi.
Ensuite j'ai travaillé dans un centre d'hébergement accueillant des réfugiés politiques de diverses nationalités ainsi que
l'accueil d'urgence mères-enfants. Leurs bébés étant souvent des enfants du viol j'ai cherché comment aider à soulager la
douleur et la charge émotionnelle de ces mères en devenir. Je me suis alors formée à l'accompagnement pré et post-natal
ainsi que le temps de la grossesse et au massage de SHANTALA. J'ai mis en place des ateliers afin de créer entre la maman
et l'enfant un lien réparateur. Ce fut mon premier pas dans ma recherche d'alternatives aux systèmes existants de soin et
de solidarité. Adepte depuis longtemps pour moi-même du bienfait de se soigner autrement ainsi que de la relation "corps-âme-esprit" j'ai continué à me former à cette pratique millénaire qu'est l'AYURVEDA. J'ai voulu comprendre "l'uitilité" de
la maladie, de par le message qu'elle nous transmet. C'est en fait le résultat des signaux d'alerte de notre corps que nous
n'avons pas su entendre : "le mal a dit". Et que nous dit le mal ? Tout d'abord qu'il faut bien s'alimenter. Comme disait
Hippocrate : "Que ton aliment soit ton médicament". Avec l'AYURVEDA j'ai pu continuer mon voyage vers le mieux-être pour
moi et pour les autres.